Des données d’enquête combinées à des entrevues qualitatives auprès de 732 auteur·rice·s universitaires affilié·e·s à The Conversation Canada montrent que les commentaires publics toxiques en ligne mènent certain·e·s à s’autocensurer et à réduire leurs efforts pour informer le public sur les résultats de recherche. Plus de 25 % des 732 répondant·e·s ont vécu des commentaires toxiques dans les sections de commentaires, sur les réseaux sociaux ou par courriel. Ces commentaires étaient le plus souvent idéologiques (70 %), sceptiques face à l’expertise (47 %), sexistes (22 %) ou racistes (16 %).
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