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Les deux facettes de l’autodiagnostic

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As-tu remarqué une augmentation du contenu relatif à la santé mentale sur ton fil d’actualité ces derniers temps ? Même si cela peut être une bonne chose, cela peut aussi être problématique. Surtout lorsque les gens commencent à s’auto-diagnostiquer avec des troubles mentaux graves sans demander l’aide d’un·e professionnel.le.

La conscience de soi est précieuse, mais il est essentiel de se rappeler que les troubles mentaux sont complexes et que le diagnostic doit être posé par des professionnel·le·s de la santé mentale qualifié·eė·s, et qu’il doit se baser sur l’évaluation approfondie des pensées, des comportements, des expériences et du fonctionnement d’une personne.

La prochaine fois que tu vois du contenu sur la santé mentale ou tout autre contenu lié à la santé sur les réseaux sociaux, pose-toi ces questions (4) :

  • Les informations présentées sont-elles fondées sur des données scientifiques ou reposent-elles sur des opinions personnelles, des expériences ou des anecdotes ?
  • La personne qui partage les informations a-t-elle reçu une formation adéquate sur le sujet qu’elle aborde ?
  • S’agit-il d’un tableau complet ou d’une simplification excessive d’une question complexe ?

Si tu as l’impression d’être aux prises avec des problèmes de santé mentale, adresse-toi à un·e professionnel·le de la santé – iel peut t’aider. Nous avons également des ressources dans notre document de référence.

Un grand merci à @kenziebrenna pour ses formidables réflexions sur ce sujet.


Ressources: https://tinyurl.com/SUFMentalHealthSelfDiagnosis

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