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Catégorie : L'ABC de la désinformation

  • Les vidéos « DeepFakes »

    Connais-tu les DeepFakes (ou Hypertrucage en bon français) ? Les DeepFakes sont des vidéos manipulées, ou d’autres représentations numériques, réalisées par une intelligence artificielle.

    L’objectif est de créer de fausses images et de faux sons qui semblent réels. Les désinformateur·rice·s peuvent utiliser cette technologie pour créer du contenu qui soutient leurs idées.

    Ils peuvent être drôles et divertissants, mais à mesure que la technologie s’améliore, le public doit être plus attentif à ce qu’ils voit à l’écran.

    Les DeepFakes s’améliorent sans cesse, mais en se concentrant sur les faiblesses du logiciel, il est plus facile de repérer ce qui n’est pas réel.

    Regarde notre vidéo pour obtenir des conseils sur la façon de les repérer par toi-même

    Ressources: https://tinyurl.com/SUFDeepFakeHoliday

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  • Fausse représentation des données : L’absence de contexte

    En sciences, comme dans d’autres domaines, il est important d’avoir une vue d’ensemble.

    Si des informations manquent ou sont sorties de leur contexte, tu risques de ne pas en tirer les bonnes conclusions. Comme la COP27 a lieu actuellement, nous avons pensé qu’il serait pertinent de te montrer comment les désinformateur·rice·s utilisent cette tactique pour nier le changement climatique.

    Les désinformateur·rice·s n’incluent qu’une partie des données, négligeant le fait que les données climatiques doivent être interprétées sur un cycle minimum de 30 ans. L’autre astuce qu’iels utilisent est de commencer le graphique par une année exceptionnellement chaude (sans le dire, évidemment !) et de le terminer par une année plus froide. Cela augmente les chances d’observer une diminution de la température de surface globale.

    Les données sur la température moyenne de l’air à la surface du globe sont comme les pixels d’une image: plus il y a de pixels, meilleure est l’image. De même, plus il y a de données, plus la tendance sera évidente. La ligne de régression locale (ou LOWESS pour LOcally WEighted Scatter plot Smooth) est utilisée pour montrer une tendance avec des données qui présentent du bruit ou de la variation naturelle comme les données climatiques (12,13). Cette ligne de régression (en gris) n’apparaît que dans les 2 derniers graphiques, étant donné qu’un nombre d’échantillons suffisant est nécessaire pour estimer une régression locale (14). Ici, la tendance montre une nette augmentation de la température de l’air à la surface du globe depuis 1880.

    Un grand merci à la Dre. Sarah Treit de @figures.first pour avoir collaboré avec nous sur ce post! Reste à l’affût: nous démêlerons ensemble d’autres façons dont les données peuvent être faussement présentées!

    Et toi, avais-tu vu que quelque chose clochait avec ce graphique? Dis-le nous dans les commentaires! Assure-toi d’avoir une vue d’ensemble quand tu regardes des données.

    *La NASA désigne l’anomalie de température comme la différence de température de cette année-là par rapport à la température moyenne de 1951 à 1980(15,16).

    Ressources: https://tinyurl.com/SUFDataLackingContext

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  • Les Red Flags de la désinformation

    Repérer les fausses informations en ligne n’est pas toujours facile, mais la plupart du temps, tu peux repérer des « red flags » .


    Un seul « red flag » ne veut pas automatiquement dire que l’information est erronée, mais c’est un signe que tu devrais investiguer davantage avant de la partager. Plus il y a de « red flags », plus tu devrais te méfier.

    Tu devrais investiguer davantage ce qui t’es présenté si :

    • Aucune source n’est présentée ou bien celles qui sont citées n’appuient pas les allégations qui sont faites
    • Du langage émotionnel est utilisé
    • Un seul côté de l’histoire est présenté
    • L’idée présentée va à l’encontre du consensus général sans être appuyée par des preuves


    D’autres éléments que tu devrais surveiller :

    • Jette un œil à la section « À propos de nous » des sites internet pour savoir quel est l’objectif de l’organisation et si elle collabore ou non avec des expert·e·s (4).
    • Lis toujours au-delà des grands titres pour avoir une vue d’ensemble. Les désinformateur·ice·s utilisent souvent des titres « clickbait » (1).
    • Regarde la date de publication de l’information qui est citée. Les désinformateur·ice·s vont utiliser de l’information qui n’est plus à jour avec notre compréhension actuelle du sujet (11). 


    N’oublie pas d’évaluer tes propres préjugés. Parfois, ce en quoi nous croyons peut faire obstacle à notre jugement (2). Il est tout à fait possible et acceptable de changer d’avis.

    Ressources: https://tinyurl.com/SUFRedFlags

     

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  • Pourquoi la désinformation est-elle crédible et qui est à risque ?

    Une revue systématique a examiné « les différences individuelles dans la susceptibilité à la désinformation en matière de santé ». Les résultats suggèrent que les personnes les plus susceptibles de croire à la désinformation avaient une pensée conspirationniste, une religiosité, une idéologie conservatrice et utilisaient les médias sociaux comme source d’information. Les personnes capables de résister à la désinformation étaient plus instruites, avaient plus de connaissances sur le sujet, de compétences en littératie et en numératie, de pensée analytique et de confiance dans la science. (le 21 octobre 2022)

  • Plutôt… Gâteau ou Tarte ?

    Es-tu plus gâteau ? ou tarte ?

    C’est une question simple, mais même ces questions simples peuvent créer de GRANDS débats ! Certains débats peuvent devenir compliqués – as-tu déjà été en désaccord avec quelqu’un, où partager les faits n’était pas suffisant, et où la situation a rapidement dégénéré en attaques personnelles ?

    Science Everywhere (@whereisscience) sait que pour atteindre une communication scientifique réussie, il est tout aussi important d’encourager la recherche et la valeur scientifiques, plutôt que de partager des faits scientifiques. Comme ils disent, « Le plus important, ce n’est pas ce que vous pensez. C’est comment. »

    Science Everywhere utilise des jeux pour créer un environnement détendu et jovial où un véritable dialogue, exempt de toute défensive, peut avoir lieu.
    Lors de leurs événements Freestyle Socials, les participant·e·s se voient poser des questions absurdes telles que « Gâteau ou tarte ? ». Ils doivent choisir leur camp et essayer de convaincre l’autre équipe en utilisant des perspectives farfelues ou drôles. Puisque les questions ne peuvent être prises au sérieux, les arguments ne le sont pas non plus. Cette stratégie incite les joueur·euse·s à être plus réceptifs aux nouvelles idées et prêt·e·s à apprendre des autres, au lieu d’être sur la défensive lorsque des questions sérieuses sont posées.

    Nous sommes ravi·e·s d’avoir travaillé avec Science Everywhere pour parrainer un événement Freestyle Socials pour notre partenaire, @LotusSTEMM. Les joueur·euse·s ont participé à des discussions constructives et amusantes sur les rappels de vaccin COVID-19, la nutrition et la désinformation.

    Nous sommes impatient·e·s de poursuivre notre partenariat avec Science Everywhere et de parrainer les événements Freestyle Socials dans d’autres communautés du Canada.

    Vas voir leur site internet à ScienceEverywhere.ca

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  • L’homéopathie : ce que c’est et ce n’est pas

    L’homéopathie peut être attrayante. Étant vendue comme une médecine douce et adaptée aux besoins spécifiques de chacun, elle est aussi controversée et constitue un système de soins non fondé. Voici pourquoi

    • Controversée car elle suit des principes qui ne s’alignent pas sur ceux de la science moderne.
    • Non prouvée parce que la plupart des études n’ont pas encore trouvé de véritable bénéfice autre que ceux attribuables à l’effet placebo. Attention, l’effet placebo peut être très puissant, mais cela ne signifie pas que les produits homéopathiques peuvent ou devraient être utilisés pour traiter des problèmes de santé graves.

    C’est aussi pourquoi, les produits homéopathiques comme les nosodes ne doivent jamais être utilisés pour prévenir un problème de santé grave. Commercialiser ces produits comme étant des « remèdes » est très trompeur et peut être très dangereux.

    Si tu ne te sens pas bien, parler à un·e professionnel·le de la santé reste la meilleure solution.

     

    Ressources: https://tinyurl.com/SUFHomeopathy

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  • Tactique de désinformation : la pente glissante

    Est-ce que tes pensées s’emballent parfois comme ça ?

    « Si j’échoue mon test aujourd’hui, je vais échouer mon cours et je n’aurai pas mon diplôme. Sans mon diplôme, je n’obtiendrai pas le travail que je veux; je n’aurai pas d’argent et je serai à la rue ! Donc, si je rate mon examen aujourd’hui, je serai à la rue »

    Les désinformateur·ice·s savent que c’est la peur et l’anxiété qui nourrit les pensées catastrophiques (1,2). Iels utilisent cette distorsion cognitive pour te faire croire qu’un événement mineur peut conduire à un événement catastrophique (2,3). La tactique de la pente glissante utilise l’exagération extrême, les émotions et la peur pour détourner ton attention de l’enjeux réel vers une situation imaginaire (4,5).

    Les arguments de ce type commencent toujours par un événement anodin et se terminent par un événement extrême, sans possibilité de s’arrêter entre les deux ou de trouver un terrain d’entente. Ils sont fallacieux car ils ne reconnaissent pas la faible probabilité qu’un événement anodin conduise réellement à un événement catastrophique et supposent que tu es incapable de différencier ces deux événements opposés (5).

    Lorsqu’un désinformateur·ice utilise la tactique de la pente glissante, tu peux mentionner (5) :

    • Le manque d’informations
    • À quel point les différents événements sont déconnectés
    • Le manque de relation entre les deux événements
    • Comment serait-il facile de trouver un terrain d’entente si on le souhaitait.

     

    Un grand merci à Jordan Collver pour sa collaboration sur ce projet ! Découvre son travail sur son site internet (jordancollver.myportfolio.com) et sur Twitter (@JordanCollver).

    Ressources: https://tinyurl.com/SUFSlipperySlope

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  • Articles zombies

    Comment appelle-t-on un article scientifique qui a été réfuté et retiré, mais qui est toujours utilisé comme argument ? Un article zombie !

    Te souviens-tu de cette étude falsifiée qui affirmait que le vaccin RRO (rougeole, rubéole et oreillons) provoque l’autisme chez les enfants ? Encore aujourd’hui, plus de 20 ans après sa publication, nous ressentons toujours les conséquences de cet article sur l’hésitation vaccinale. Malgré que nous savons que les auteur·ice·s ont volontairement falsifié leurs résultats et que de nombreuses autres études ont depuis prouvé la sécurité de la vaccination.

    La rétractation d’articles démontre le désir des auteur·ice·s et des journaux de fournir au public de la science exacte de qualité.

    Ces articles scientifiques sont souvent retirés en raison d’une inconduite de recherche, qui peut prendre 3 formes :

    • Fabrication → les données ou les résultats rapportés sont inventés.
    • Falsification → certaines données ou certains résultats sont omis, manipulés ou présentés d’une manière qui ne représente pas adéquatement la recherche.
    • Plagiat → les idées, les résultats ou les mots de quelqu’un d’autre sont utilisés comme étant les siens sans être crédités.

    Les articles zombies peuvent avoir un impact majeur sur la santé publique, la confiance du grand public envers la science et les futures recherches. Ils sont souvent utilisés par les désinformateur·ice·s, alors méfie-toi !

    Ne laisse pas les articles zombies te mâcher la cervelle ! En cas de doute, consulte la base de données Retraction Watch à l’adresse retractiondatabase.org pour savoir si un article a été rétracté. N’oublie pas, ce n’est pas la science qui commet les inconduites, mais bien des individus mal intentionnés.

     

    Ressources: https://tinyurl.com/SUFZombiePapers

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  • Tactique de désinformation : Semer le doute

    Si une certaine dose de doute et de scepticisme est saine, elle peut devenir une mauvaise chose. Les désinformateur·ice·s peuvent l’utiliser pour remettre en question ce qui a été scientifiquement prouvé et établi: c’est ce qu’on appelle semer le doute (1,2).

    L’industrie du tabac a utilisé cette tactique pour remettre en question l’implication de la cigarette dans le cancer du poumon, mais cette tactique a également été utilisée dans les débats sur les changements climatiques et le désarmement nucléaire (1). Plutôt que de faire une affirmation directe (ex. Le réchauffement climatique n’existe pas), ces personnes mettent en doute l’existence des conséquences d’un problème (ex. Le réchauffement climatique n’est pas si grave que ça). De cette façon, iels donnent l’impression que plus d’informations sont nécessaires avant que de nouvelles réglementations ou mesures soient mises en place. (3). Ces désinformateur·ice·s vont également (1) :

    • Uniquement présenter les données qui correspondent à leur discours
    • Financer leurs propres recherches en espérant obtenir des résultats plus favorables
    • Prétendre que la solution est plus dangereuse ou trop coûteuse
    • Créer l’illusion d’un désaccord entre les scientifiques
    • Publier dans les médias grand public pour atteindre plus de gens
    • Dévier le problème vers quelque chose de non pertinent
    • S’attaquer à la science ou à la compétence d’un·e scientifique (ça te dit quelque chose ? Jette un coup d’œil à notre publication sur l’attaque ad hominem !)

    Comment savoir si tu fais face à un·e marchand·e de doute ? Pose-toi les questions suivantes (4) :

    • L’information provient-elle d’une source fiable ?
    • L’expert·e est-iel spécialisé·e dans le domaine concerné ?
    • L’expert·e est-iel associé·e ou payé·e par une organisation à qui les allégations profiteraient ou désavantageraient ?

    Un grand merci à Jordan Collver pour sa collaboration sur ce projet ! Découvre son travail sur son site internet (jordancollver.myportfolio.com) et sur Twitter (@JordanCollver). Ressources: https://tinyurl.com/SUFDoubtMongering

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  • Peut-on » immuniser » contre la désinformation ?

    Une nouvelle étude suggère qu’il est possible d’immuniser contre la désinformation en utilisant de courtes vidéos pour éduquer contre les techniques de manipulation courantes, y compris « le langage émotionnellement manipulateur, l’incohérence, les fausses dichotomies, la désignation de boucs émissaires et les attaques ad hominem ». Ces vidéos « améliorent la reconnaissance des techniques de manipulation, renforcent la confiance dans le repérage de ces techniques, augmentent la capacité des gens à discerner le contenu digne de confiance du contenu indigne de confiance, et améliorent la qualité de leurs décisions de partage. » (le 24 août 2022)

  • Tactique de désinformation : Attaque ad hominem

    Attaquer la personnalité de quelqu’un n’invalide pas ses arguments.

    L’attaque ad hominem, du latin “à la personne”, est utilisée pour discréditer l’individu afin d’invalider son argument, plutôt que de discréditer l’argument lui-même (1,2). En utilisant cette tactique, les désinformateur·ice·s font appel aux émotions des gens, un outil très puissant (3,4). Il existe plusieurs types d’arguments ad hominem (3,5). Prenons un exemple pour expliquer chaque type. Dans cet exemple, tu affirmes que « le gâteau au chocolat est la meilleure sorte de gâteau ! ».
    1. Un argument abusif s’attaquera directement à ta personne → « Tes souliers sont très laids, alors comment pourrais-tu savoir si le gâteau au chocolat est la meilleure sorte de gâteau ? »
    2. Un argument professionnel discréditera tes connaissances ou ta formation → « Tu n’es pas propriétaire d’une pâtisserie, alors que connais-tu sur les gâteaux de toute façon ? ».
    3. Un argument circonstanciel remettra en cause la véracité de ton argument en raison de tes motifs → « Tu dis ça uniquement parce que ton voisin est propriétaire d’une pâtisserie ! »
    4. Un argument de culpabilité par association te discréditera en t’associant à quelque chose de négatif → « Les criminels mangent aussi des gâteaux au chocolat, donc tu dois être un criminel ».
    5. Un argument “Tu Quoque” (du latin “tu l’es aussi”) utilisera tes actions passées pour discréditer ton argument → « Je t’ai déjà vu manger du gâteau à la vanille donc clairement tu mens. »
    Alors, comment faire face à une attaque ad hominem ? Tu peux :
    • La reconnaître
    • Souligner son impertinence
    • Tout simplement l’ignorer
    « Je comprends que tu n’aimes pas mes souliers, mais ça n’a rien à voir avec le gâteau au chocolat. »   Un grand merci à Jordan Collver pour sa collaboration sur ce projet ! Découvre son travail sur son site internet (jordancollver.myportfolio.com) et sur Twitter (@JordanCollver). Ressources: https://tinyurl.com/SUFAdHominemAttackPartagez notre Tweet original ! Regardez notre post Instagram original !
  • Comment les fake news se propagent ?

    Harder
    Better
    Faster
    Stronger

    Il ne s’agit pas d’un nouveau classique des Daft Punk, mais de la façon dont la désinformation se propage !

    Les mensonges se propagent:

    • Mieux, parce qu’ils sont vus par plus de personnes
    • Plus vite,en atteignant plus d’utilisateurs 6 fois plus vite
    • Plus fort, car ils sont partagés en chaînes plus longues

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    @lasciencedabord La désinformation se propage vite, loin, et plus fort que les informations sourcées. #science#pt#fyp#dance#learnontiktok#music ♬ son original – LaSciencedAbord

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  • Si les mensonges sont faciles à dire, la vérité est souvent plus dure à propager

    Si les mensonges sont faciles à dire, la vérité est souvent plus dure à propager : cette affirmation s’applique également aux réseaux sociaux !

    Les recherches montrent que la désinformation a tendance à être beaucoup plus attrayante que les informations véridiques. Défile pour en savoir plus → Tu peux contribuer à stopper la propagation de la désinformation en prenant une pause avant de partager quelque chose. Demande-toi : « Est-ce que c’est vrai ? » avant de cliquer sur « Envoyer » !   Ressources: https://tinyurl.com/SUFLieSpeedPartagez notre Tweet original ! Regardez notre post Instagram original !
  • La lutte contre la désinformation nécessite un combat sous tous les angles

    Une étude récente a évalué « les interventions visant à réduire la désinformation virale en ligne tant de manière isolée que lorsqu’elles sont utilisées en combinaison ». Les résultats suggèrent que les interventions isolées de désinformation ont peu de chances d’être efficaces en soi, mais qu’une « approche combinée » peut conduire à une « réduction substantielle » de la prévalence de la désinformation. (le 23 juin 2022)

  • La diffusion de la désinformation associée aux problèmes de santé mentale ?

    De plus en plus de recherches ont établi un lien entre la désinformation en matière de santé et les problèmes de santé mentale. Une étude récente, par exemple, a révélé que « les internautes qui ont partagé des informations erronées sur la COVID-19 ont connu une augmentation de l’anxiété environ deux fois plus importante que celles et ceux qui n’en ont pas partagé ». Bien que cette recherche soit de nature corrélationnelle, elle nous rappelle les coûts potentiels de la désinformation pour la santé mentale. ( le 2 juin 2022)